L’histoire juive de Gad Elmaleh

Il naquit dans une famille juive marocaine. Gad Elmaleh affirme dès son plus jeune âge sa volonté de réussir une carrière artistique. Il quitte son pays natal, le Maroc, à 17 ans, afin de vivre d’autres expériences au Québec. Après avoir passé quatre ans à Montréal, Gad Elmaleh s’installe à Paris et suit une formation artistique au Cours Florent pendant deux ans et demi. Il écrit ensuite son premier one-man-show, Décalages, et tourne dans son premier long métrage, « Salut cousin ! » en 1996.

Après le succès rencontré par son spectacle, Gad Elmaleh privilégie sa carrière cinématographique : à l’affiche de nombreuses comédies telles que « XXL » de Ariel Zeitoun en 1996, « On fait comme on a dit » en 2000 ou encore « Les Gens en maillot de bain ne sont pas (forcément) superficiels » en 2001, l’humoriste démontre également une grande facilité pour les rôles dramatiques, comme dans « L’ Homme est une femme comme les autres » ou « Train de vie » en 1998.

Les années 2000-2001 sont les années de la consécration pour le comédien. Celui-ci entame en effet la tournée de son second one-man-show, « La Vie Normale », et il reprend le rôle du séducteur Dov (laissé par Vincent Elbaz) pour La « Vérite si je mens ! 2 », l’un des plus gros succès au box-office français de l’année 2001. Après avoir donné les dernières représentations de « La Vie Normale », Gad Elmaleh tourne aux côtés de Cécile de France dans « A + Pollux » en 2002, avant de retrouver le réalisateur de « Salut cousin ! », Merzak Allouache, qui le dirige en travesti romantique dans la comédie « Chouchou ».

Gad avec le rabbi de Loubavitch à New York

Par Noam Mosséri – Juifs célèbres © Tous droits réservés.